Sujet: A coffee with friends | Arman Mar 11 Juil - 21:17
A coffee with friends
Arman et Rose
Ma garde venait de se terminer depuis quinze minutes. J'avais enchaîné une journée de tente cinq heures, dont huit heures au bloc opératoire. Heureusement, que j'avais réussi à dormir un peu, parfois, je me demande comment j'arrive à tenir debout. Enfin, j'étais exténué, surtout que la journée n'avait pas était terrible, il y avait eu un grave accident de voiture avec un poids lourd. Les seuls survivants étaient les enfants qui se trouver dans la voiture. La vie est vraiment cruelle, on a tout fait pour sauver les parents, main en vains. Maintenant que ma garde est enfin terminé, il était impossible pour moi de dormir. Je sortis de la douche tout en me dirigeant vers mon vestiaire, j’enfilai la tenue que j'avais avant de commencer ma garde. Une fois habillé, d'une robe longue beige et marron, j’enfilais ma paire de talons compensée. Je décidai d'envoyer un sms à mon frère, après cette dure journée, j'avais envie de passer un peu de temps avec lui. Mais mon ferre déclina ma proposition, car il travaillait toute la journée. Je regardai l'heure sur mon portable, il était heure et j’étais affamé. Je ne savais même plus quand est-ce que j'avais mange pour la dernière fois. Je décidai de me rendre au Rosine's afin de prendre un bon petit déjeuner. Je quittai l’hôpital tout en disant au revoir à mes collègues. Une quinzaine de minutes plus tard, j’arrivais au café, je garai ma voiture, puis je regardai mes messages. Une fois dans le café, je passai commande au comptoir, comme d'habitude, je commandai des pancake aux fruits rouges et un cappuccino. Une fois que je réglai ma commande, j'allais m'installer à une table en attendant que l'on vienne me servir. Je repérai au loin une table de disponible. Mais je crus reconnaître une tête familière. Tout en m'approchant, je reconnus Arman. Notre première rencontre ne fut pas anodine. Il avait était rapatrier d'urgence suite puisqu'il est reporter de guerre. Et ce fut moi qui m'occupai de son cas. J'avais tout de suite sympathisé avec le jeune homme, et puis on avait gardé contacte. Je le considère comme mon frère, bien que parfois, on peut être en désaccord, on est tout de même très proche. Je m'approchai de lui tout en lui disant.